"Son ami Pissarro lui a laissé le secret des mises en page coupées, des vues plongeantes qui donnent au spectateur l’impression de surprendre un spectacle familier. Les volumes sont nets et denses comme ceux d’un sculpteur, le geste aisé et heureux, la touche à la fois large et précise ; l’harmonie s’établit insensiblement entre les couleurs et les formes nées d’un choix si bien médité qu’elles semblent jaillir spontanément du pinceau de l’artiste."
Gérald Schurr.
"Ses formes toujours justes, volontiers un peu estompées, enveloppées dans une lumière délicate et fraîche. Quand il évoque un intérieur, les figures, les meubles, le décor sont retracés avec un sentiment et une vie intenses qui restituent une période heureuse de notre société..."
Raymond Charmet en 1975, à la Galerie du Drap d’Or à Cannes
Attiré par Rouen, le voilà au musée, presque incognito, en spectateur, le chapeau sur les genoux.
Un dessin de cet autoportrait (en bas à droite du tableau) a été choisi par Gérald Schurr pour sa collection de portraits, qui fut exposée au Louvre des Antiquaires.